Il y a des vies
Comme des morceaux de papier
Au vent jetés
Eparpillés
La mienne est de celles-ci
Et mon coeur morcelé
Se fragmente en pays
En villes, en amitiés
Et mon âme est riche
De ceux que j'ai aimés
De tous ceux qui me manquent
Qui peuplent mes pensées
Mais mon corps est triste
Loin de leurs baisers
Loin de leurs bras, ma peau gelée
Peine à se réchauffer
(Interrompue entre la 2ème et la 3ème parties, j'ai fini ce texte sans conviction. Je suis partie dans une direction qui n'est pas celle qui me guidait au départ, et qui s'avère moins positive. Mais je n'aime pas retoucher ce qui s'écrit.)
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