Après l’amour, comme toujours
Je m’endors entre tes bras
Après l’amour, cette fois-là
Ma dernière nuit tout contre toi
Après l’amour le lendemain
Des adieux que je ne vois pas
Je remonte dans le train
Croyant à une prochaine fois
Si j’avais su ce jour-là
Que tu me laisserais comme ça
Que je me retrouverais seule sans toi
Si tu m’avais dit ces choses-là
Après l’amour, alors, je crois
Que je t’aurais aimé encore une fois
Que je t’aurais aimé mieux que cela
Et peut-être n’en serions nous pas là.
Un vieux blog, mis en sommeil, qui se réveille. Des gribouillages sur des bouts de papier.
mardi 29 avril 2008
vendredi 25 avril 2008
J'aimerais devenir (sur une idée de Navie)
J’aimerais devenir
Une pin-up sur échasses
L’image même du plaisir
Une sacrée bombasse
Je voudrais être comme
Betty Boop en blonde
Une femme avec des formes
Une beauté gironde
J’aimerais me gainer
Dans un beau fourreau noir
La moindre de mes courbes moulée
Et exposée aux regards
Je voudrais afficher
Le même air d’assurance
Que ma plantureuse féminité
Les mette tous en transe
J’aimerais devenir une pin-up
Une qui fait la moue
Je m’y essaye à la minute :
Pou pou pidou !
(Comme indiqué dans le titre, ce texte me fut inspiré par Navie, artiste et blogueuse de talent)
Une pin-up sur échasses
L’image même du plaisir
Une sacrée bombasse
Je voudrais être comme
Betty Boop en blonde
Une femme avec des formes
Une beauté gironde
J’aimerais me gainer
Dans un beau fourreau noir
La moindre de mes courbes moulée
Et exposée aux regards
Je voudrais afficher
Le même air d’assurance
Que ma plantureuse féminité
Les mette tous en transe
J’aimerais devenir une pin-up
Une qui fait la moue
Je m’y essaye à la minute :
Pou pou pidou !
(Comme indiqué dans le titre, ce texte me fut inspiré par Navie, artiste et blogueuse de talent)
lundi 14 avril 2008
Une tache de vin (Impromptus Littéraires)
J’ai une tache de vin bien marquée
Qui se dessine à mon décolleté
Comme une éclaboussure étrange
Qui remonte vers ma gorge
J’ai ce surprenant dessin
Qui va se perdre entre mes seins
Une tache d’encre qui aurait bavé
Le motif d’un tableau abstrait
Mais ce qui fait ma différence
Ce qui intrigue les gens
C’est que ma tache de naissance
C’est une tache de vin blanc
Qui se dessine à mon décolleté
Comme une éclaboussure étrange
Qui remonte vers ma gorge
J’ai ce surprenant dessin
Qui va se perdre entre mes seins
Une tache d’encre qui aurait bavé
Le motif d’un tableau abstrait
Mais ce qui fait ma différence
Ce qui intrigue les gens
C’est que ma tache de naissance
C’est une tache de vin blanc
jeudi 10 avril 2008
Délices d'épices
Une pincée de cumin
Je me sens si bien
Une pincée de muscade
Nous partons en ballade
Une pincée de cannelle
Il me pousse des ailes
Une pincée de coriandre
Je me sens déjà fondre
Une pincée de safran
De toi je m’éprends
Une pincée de gingembre
Je t’offre mon coeur tendre
Une pincée de paprika
Serre-moi dans tes bras
Un délicieux curry
Me voilà dans ton lit
(ce texte est une alternative à celui posté pour ma participation au thème de la semaine des Impromptus Littéraires)
Je me sens si bien
Une pincée de muscade
Nous partons en ballade
Une pincée de cannelle
Il me pousse des ailes
Une pincée de coriandre
Je me sens déjà fondre
Une pincée de safran
De toi je m’éprends
Une pincée de gingembre
Je t’offre mon coeur tendre
Une pincée de paprika
Serre-moi dans tes bras
Un délicieux curry
Me voilà dans ton lit
(ce texte est une alternative à celui posté pour ma participation au thème de la semaine des Impromptus Littéraires)
vendredi 4 avril 2008
La tête comme une passoire
Qu’est-ce qui se passe ce matin
Je ne me souviens de rien
Quelques fragments de ma pensée
Flottent en l’air, insensés
Mais qu’est-ce que j’ai bien pu faire
Où suis-je allée hier
Qu’est-ce qui m’est arrivé
Pour être ainsi paumée
J’ai la tête comme une passoire
Un immense trou de mémoire
Un gouffre béant
C’est le néant
J’ai la tête comme une passoire
Un immense trou de mémoire
Je l’avoue, ce que j’ai là
C’est une belle gueule de bois.
(thème des Impromptus Littéraires)
Je ne me souviens de rien
Quelques fragments de ma pensée
Flottent en l’air, insensés
Mais qu’est-ce que j’ai bien pu faire
Où suis-je allée hier
Qu’est-ce qui m’est arrivé
Pour être ainsi paumée
J’ai la tête comme une passoire
Un immense trou de mémoire
Un gouffre béant
C’est le néant
J’ai la tête comme une passoire
Un immense trou de mémoire
Je l’avoue, ce que j’ai là
C’est une belle gueule de bois.
(thème des Impromptus Littéraires)
mardi 1 avril 2008
Chère rasade
Il ne marche pas droit
Il se tient de guingois
Sans elle il a froid
Sa bouteille c’est tout ce qu’il a
Il se demande depuis quand il ne s’est pas lavé
Comment tout ça est arrivé
Un petit coup, ça va passer
Une rasade, c’est la santé
La nuit, il pleure
Il est trop seul dans son malheur
Sa bouteille, c’est comme une sœur
Un bouclier contre ses peurs
Bientôt, il s’endormira
Ne se réveillera pas
Et pour ce long coma
Une gorgée lui suffira
Adieu chère rasade
Adieu ma seule amie
Adieu camarade
Trois gouttes et c’est fini
Il se tient de guingois
Sans elle il a froid
Sa bouteille c’est tout ce qu’il a
Il se demande depuis quand il ne s’est pas lavé
Comment tout ça est arrivé
Un petit coup, ça va passer
Une rasade, c’est la santé
La nuit, il pleure
Il est trop seul dans son malheur
Sa bouteille, c’est comme une sœur
Un bouclier contre ses peurs
Bientôt, il s’endormira
Ne se réveillera pas
Et pour ce long coma
Une gorgée lui suffira
Adieu chère rasade
Adieu ma seule amie
Adieu camarade
Trois gouttes et c’est fini
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