Le temps nous est compté
Mon amour tu le sais
Y’a qu’à nous regarder
On se déchire, on se dévore
Je t’aime et tu me hais
Tu me supplies et je t’ignore
Je pleure et tu te tais
Tous nos efforts ont été vains
L’amour se meurt
C’est notre fin
En chiffres rouges le compte à rebours
Une heure et puis plus rien
Une heure avant la mort
Mon amour aimes-moi encore
Une heure avant la mort
Mon amour mords-moi encore
Une heure avant la mort
Mon amour serre-moi plus fort
Une heure avant la mort
Mon amour tues-moi enfin
Sur un thème des Impromptus Littéraires
Un vieux blog, mis en sommeil, qui se réveille. Des gribouillages sur des bouts de papier.
mercredi 3 octobre 2012
mercredi 19 septembre 2012
Prière pour un ami
Petite, on m'a appris à prier Dieu. Depuis, j'ai oublié. Je prie toujours, mais je dirige mes supplications vers cette grande force qu'est l'Amour. Peut-être pour être sûre d'être entendue... Quoi qu'il en soit, cette prière-là a fonctionné.
Conjurer le sort
Repousser la mort – encore
Croiser les doigts, prier un peu plus fort
Nos cœurs qui se serrent pendant qu’on fouille le tien
Une main invisible, celle de Dieu, d’un chirurgien
Nos souffles à l’unisson t’appellent sans fin
On est tous suspendus à tes lèvres
On s’accroche tous un peu à tes épaules
On est ta force, tu es notre âme, tant de vies qui se frôlent
Réunies dans l’amour d’une seule et même personne
On a confiance en toi, on garde la foi
On a peur un peu quand même, mais on ne le dit pas
On attend, simplement, un lendemain
Entendre résonner ta voix
Continuer le combat
Sourire, respirer enfin
Conjurer le sort
Repousser la mort – encore
Croiser les doigts, prier un peu plus fort
Nos cœurs qui se serrent pendant qu’on fouille le tien
Une main invisible, celle de Dieu, d’un chirurgien
Nos souffles à l’unisson t’appellent sans fin
On est tous suspendus à tes lèvres
On s’accroche tous un peu à tes épaules
On est ta force, tu es notre âme, tant de vies qui se frôlent
Réunies dans l’amour d’une seule et même personne
On a confiance en toi, on garde la foi
On a peur un peu quand même, mais on ne le dit pas
On attend, simplement, un lendemain
Entendre résonner ta voix
Continuer le combat
Sourire, respirer enfin
lundi 17 septembre 2012
Adieu passion
Je crois qu’il est grand temps
Que je te dise adieu
Et le plus simple c’est de l’écrire
Adieu passion, adieu tourment
Je te déteste, je t’ai aimé
Et maintenant c’est terminé
Les bons moments, les coups de sang
Notre complicité, envolés
Je regrette, mais pas vraiment
Ca me manque, mais plus tellement
C’est ancré et moi, et je ne sais pas vraiment
Si je tiens à oublier
Ca n’était pas moi, et pourtant je t’ai aimé
C’est fini déjà, ça n’a même pas existé
Ya rien à dire de plus
Mais je n’ai pas terminé
Laisse-moi vider mon sac
Mon fardeau s’alléger
T’as craché sur nous, tu m’as humiliée
J’ai cru tenir le coup, et j’ai abandonné
Finalement je me tais
Tu ne me méritais pas, mais c’est de la vanité
Peut-être la vérité
Adieu passion, adieu tourment
Mon cœur est vide
C’est terminé
Que je te dise adieu
Et le plus simple c’est de l’écrire
Adieu passion, adieu tourment
Je te déteste, je t’ai aimé
Et maintenant c’est terminé
Les bons moments, les coups de sang
Notre complicité, envolés
Je regrette, mais pas vraiment
Ca me manque, mais plus tellement
C’est ancré et moi, et je ne sais pas vraiment
Si je tiens à oublier
Ca n’était pas moi, et pourtant je t’ai aimé
C’est fini déjà, ça n’a même pas existé
Ya rien à dire de plus
Mais je n’ai pas terminé
Laisse-moi vider mon sac
Mon fardeau s’alléger
T’as craché sur nous, tu m’as humiliée
J’ai cru tenir le coup, et j’ai abandonné
Finalement je me tais
Tu ne me méritais pas, mais c’est de la vanité
Peut-être la vérité
Adieu passion, adieu tourment
Mon cœur est vide
C’est terminé
lundi 25 juin 2012
Objets inanimés - l'oreiller
J’ai recueilli tes larmes
Les ai bues jusqu’à la lie
J’ai épongé la sueur
De tes folles nuits
J’ai respiré ton parfum
L’ai diffusé sans fin
Et recueilli jour et nuit
Ta tête alourdie.
J’ai laissé tes cheveux d’or
Me chatouiller le nez
Le poids de ton corps
Jusqu’à m’en étouffer
Je t’ai laissé me broyer entre tes mains
Eparpiller mes plumes aux quatre coins
Me dégonfler, me malmener
Pour une bataille d’oreillers.
Mais ce soir mon amour
Je tire ma révérence
Lorsque ta tête repose sur son torse
La caresse soyeuse de ta joue sur moi
N’est plus qu’un douloureux souvenir
C’est lui désormais
Le confident de tes émois.
http://www.impromptuslitteraires.fr/dotclear/index.php?2000/01/01/8088-lancement-de-theme
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